
Pour cette artiste tout est propice à l’inspiration. Lovisa s’inspire de la figuration libre, du Pop Art et des artistes ""urbains"" : Andy Warhol et Jean-Michel Basquiat, Pierre Alechinsky et Robert Combas. Les grandes métropoles s’invitent dans ses toiles dans toute leur démesure et leur ""frénésie consommatrice"" (véhicules, graffitis, gratte-ciel).
Lovisa aime surprendre en assemblant des objets divers. Pour faire vivre la matière et se libérer des contraintes de la peinture, elle expérimente un joyeux mélange de techniques mixtes (enduit, marouflage, collage, écriture, acrylique, papier mâché…)
Ses compositions gardent la trace de son métier de vitrailliste. Elle retrouve ses anciens outils (marteau, clou) en recyclant des canettes de sodas ou des boîtes de conserve. La surface réflective du métal répercute la lumière à la manière du verre teinté. La couleur occupe une place prépondérante dans son art.
Ses compositions s’animent à la façon des cartoons dans une atmosphère électrique. Sorti de la monotonie de son quotidien, le spectateur assiste à une véritable explosion de matière colorée.